Entrepreneurs : Existe-t-il encore un pays où la liberté économique est réelle?

Le titre peut paraître un poil provocateur mais il est bien réaliste compte tenu des nouvelles règles fiscales et administratives qui ne cessent de se rigidifier. Voici donc mon opinion quant à cette possible liberté économique que l’on ne trouve plus dans de nombreuses contrées dites développées.

Est-ce que l’on compte vraiment sur nous?

Au sein de nombreuses tribunes et autres plaidoyers des politiques, les entrepreneurs, en tout cas pour une partie de l’échiquier politique, n’ont de cesse que de motiver les foules afin de mettre en avant le travail des entrepreneurs en tant qu’agent économique.

Il est vrai que nous sommes des créateurs d’emplois, c’est qui arrange bien les affaires de l’État dont la courbe du chômage n’a absolument pas baissé. Toutefois, dans les faits, les choses sont totalement différentes puisque les lois et autres décrets ne font que nous empêcher de pouvoir développer sereinement une activité.

En ce sens, et sauf si Emmanuel Macron pourrait changer la donne, j’ai vraiment l’impression que l’on ne compte pas totalement sûr nous.

Quelles solutions s’offrent aux entrepreneurs?

En effet, en y regardant de plus près, mais aussi en écoutant mes collègues entrepreneurs, j’ai l’impression que nous n’avons plus beaucoup d’options.

Même si j’en avais parlé dans cet article, il semblerait que les solutions alternatives prennent de plus en plus de poids dans nos têtes. Parmi celles-ci, je parle notamment de tout ce qui est offshore à Hong-Kong par exemple.

Franchement, même s’il n’y a pas de sécurité sociale, que nous n’avons donc plus à financer, les avantages sont particulièrement nombreux sur cette île située au sud-est de la Chine. Le tableau fait rêver : des dividendes non taxés, des charges patronales <15 % et des impôts sur le revenu < À 17 %. Que demande le peuple?

Quid des élections présidentielles de 2017 ?

Si comme moi, vous écoutez la radio ou regardez de temps en temps la télévision, pas trop j’espère, vous vous êtes bien rendu compte que les médias nous harcèle avec les primaires de droite et la possible non-investiture du président en place.

Concrètement, la chasse aux voix est ouverte et nous devenons pour encore quelques mois les pantins des médias. Je ne vous cache pas que je suis véritablement fatigué de cette situation et que j’en attends, sans doute beaucoup trop, de l’alternative Macron qui je l’espère ne tardera pas à se présenter officiellement pour les élections présidentielles de 2017.

J’ai récemment lu dans le cadre du premier sondage l’intégrant qu’il était déjà crédité le 14 % des voix, Sachant qu’il grappille des voix au centre, à gauche, à droite et au auprès des non-votants…